Je me réveille, l'heure du réveille affiche 10heures, je n'ai pas envie de me lever. Les évenements d'hier m'ont bouleverser, voilà que ems vacances commencent bien ! - Il soupire - Et moi qui en rajoute en touchant le cul d'un mec plus vieu que moi, l'âge de mon pere, peut-être plus jeune. La trentaine quoi ! Merde quel con je fais. Et il est partit comme ca, j'aurais ovulu m'excuser, c'est ce que je vais faire, je vais retourner voir Fuzaaki et lui dire mes excuses. Peut-être qu'aprés tout ca j'irais mieu. Ouais j'irais mieu. En réalisant que je porte encore les vêtements de la veille, une bonne douche ne serait pas de refus. Je me déshabille rapidement et me glisse sous ma douche. Putain c'est geler, en même temps si je me gourre de bouton pour l'eau chaude... Décidement la poisse est avec moi et veux pas me lâcher. En y réfléchissant bien, je l'ai depuis que j'ai vu Yasuo, c'est lui qui doi l'avoir et il me l'a refier ce con... Ce con que j'aime pourtant. - Il baisse les yeux - Naan! ense à autre chose!

   Ma douche fini, je descend les escaliers menant au salon et j'y trouve mon père buvant son café dans son mug marron en train de lire son journal. Je m'en veux terriblement de lui avoir parler de manière aussi abrupt hier... Mais je ne pouvait pas contrôler mes pulsions hier.. Aucune pulsions!!!!!

 

- Pa'?

- Je croyais que tu me détestais et que tu voulais plus me parler?

 

   Pff, ouais il resteras un gamin, il agi comme un gamin. Même moi je suis plus mature, - Il hausse un sourcil - Quoi que... Je m'avance vers lui et lui enlace sa taille en déposant mon menton sur son épaule.

 

- T'es pardonnés... Efnin c'est plutôt à moi de m'excuser.

- Non, j'aurai du te le dire dés que j'ai vu que tu dépérissais.

- Je t'aime papa tu sais.

 

   Il se retourne et pour simple réponse m'enlace. Je sent que mon tee shirt se mouillait un peu plus chaque seconde. Mon père pleure, je le fait pleurer alors?

 

- Pa'... Pleurs pas.

 

   Il se redresse, seche ses larmes et me regarde en souriant. Un petit sourire forcé je diras, sincére mais forcé quand même.

 

- Quand tu m'as dit que tu me destestait, j'ai vraiment cru que j'allais me jeter sous une voiture ou m'étrangler.  J'ai déjà pardu ta mère et toi - Il dépose sa main sur la chevelure de Zack - Je veux pas te perdre.

 

   J' en eu les larmes aux yeux, comment a t-il pu peser une seconde que je disait vrai? C'était simplement sous un coup de colère. Je reprend mon père dans mes bras, le serre le plus fort que je peux, jamais je ne l'abandonnerais. Je l'aime trop pour ca, et qu'il ai pu penser une chose pareil me fait peur. Plus jamais je n'éleverais le ton sur lui, lus jamais je ne lui parlerais de cette maniere. 

 

- Je t'aime aussi fiston.

- Pa'...  Comment t'as pu penser que je te détestais?

- Je sais que tu me déteste pas, mais, t'avais l'air  tellement, perdu.

-  Pa'! T'es le meilleur papa du monde! Je te lache pa, je t'ai , je te lache pas!

- Meilleur tu dit?

- Ouais bah prend pas cet air si hautain ca te vas pas! Et puis, t'es pas si meilleur que ca en fin de compte. Tu sais même pas faire des cuire un oeuf!

 

   Mon père éclate de rire à ce moment et me décoiffe de sa main. Non mais j'ai mit une heure à faire c broshing!!!! J'étais plus canon que d'hab! Là il va me le payer!! Je cours jusqu'au canapé, attrape un coussin et le jet vers mon pere.

 

- Ahahaha! Qui c'est qui rigole maint-

 

   Tien je l'avais pas vu celui là.

 

- Je sais peut-être pas cuire un oeuf, mais j'ai bien réussis à procrée un crane d'oeuf.

- Pa', c'était un jeux de mot inutil et bête!

Je m'appercoit que dehors, il pleut, mais je ne peux pas rester sans rien faire, il faut que je m'excuse. Pourquoi je tien tant à m'excusez d'ailleurs...? Je ne sais pas mais quelque chose m'u pousse, il faut que j'aille le faire. Cet homme...

 

- Pa'! Je sors! Dis-je en prenant mon manteau le plus chaud

- Par ce temps là?

- Oui! J'en ai pas pour longtemps!

 

   Il aquiesce même si il n'est pas d'accord que je sorte par ce temps là. Le froid me tappe directement sur le visage et la pluit me mouille déjà le visage. Moi qui avait envie de paraitre bien devant lui... Mais bon les cheuveux mouillés je suis sexy aussi. Pourquoi je dis ca moi?

Arrivé devant la porte d'entrée, mon coeur bat encore plus vite, je ne suis pas sur de ce que je fais, mais j'ai envie de revoir Fuzaaki, et aprés tout j'ai une bonne raison de le revoir je pense. Cet homme va me rendre fou. Je frappe quelques coups, si ca se trouve il ne m'a même pas entendue...

 

- Tien! Zack. Qu'est ce que tu fais ici? T'aime bien être mouillé?

- Nan c'est que...

- Ah je sais, tu regrettes qu'on se soit arrêter en si bon chemin hier c'est ca?

- Seiichi, non c'est pas ca. Je peux voir ton père?

- Mon père pourquoi?

 

   Bah en fait hier je lui ai touché le cul et je voudrais m'excusez... Non ca le fait pas, faut que je trouve autre chose.

 

- Euh...

- Laisse le entré Seiichi.

 

   Cette voix... Je la reconnais, comment l'oublier. Seiichi s'écarte de la porte pour me laisser entrer, je suis mouillé de la tête aux pieds mais c'est pas grave. Fuzaaki est à l'autre bout de la pièce et me regarde, moi je n'ose pas,  c'est fou ce qu'il me rend dingue.  Bon, stresse pas, c'est juste des excuses hein. Faut pas stresser. Fuzaaki me fait un signe de la main montrant qu'il veut que je le suive. Le suivre ou? Bon te fais pas de fausses idées, c'est certainement pas dans sa chambre qu'il veut t'emmener. Seiichi, désorienté monte à l'étage, moi je suis Fuzaaki. J'entre dans une piece, avec des couleurs chaudes, un canapé rouge est au coin de la pièce, un bureau sur lequel est posé une lampe, un livre, une paire de lunettes. Je suppose que c'est son bureau. Il s'assoi sur le canapé, à l'aise. J'ai une bouffée de chaleur tout à coup.

 

- Alors? Pourquoi voulais tu me voir?

 

   Je rougis, sa voix me donne tellement de frissons, bon redresse toi et essay de faire une phrase correct.

 

- Je... Je susi venu pour m'excuser.

 

   Il arque un sourcil et pose sa main sur le canapé. Apparement il veut que je m'assois. Mon coeur se remet à battre, battre comme il n'a jamais battu. Je m'installe alors à côté de lui mes mains entre mes cuisses. Je suis térrorisé en même temps d'être éxité.

 

- T'excuser pourquoi?

 

   Pourquoi? est ce qu'il se souvient de ce que j'ai fait hier? Surement, il cherche à me destabiliser.

 

- P... Pour... Hier.

- Un coup de fil aurait suffit tu sais.

 

   Oui mais j'avais une terrible envie de vous revoir.

  Je reste immobile, il me perturbe ce mec c'est pas possible ! J'ai jamai autant été stréssé de ma vie. Il se tourne alors vers moi, me fixe de ses yeux noirs, une lègere lueur dans les yeux, indescriptible. Affiche un sourrire sublime où je peux entre-apercevoir ses dents, blanches, bien rangées. Un sourrire magnifique qui me fait d'autant plus chavirer mon coeur.

 

- Bon puisque tu es là maintenant, tu veux quelque chose à boire?

- Euh, o, oui je veux bien.

 

   Il se leve pour se saisir de deux verres dans son grand meuble de bois, mon regard se pose instinctivement sur son posterieur. Qu'il est beau sous son jean, mais il serais mieu sans - Il secou la tête - Non arrête de penser ca ! 

 

- Tu veux boire quoi?

- Euh, comme vous.

- Certainement pas ! Je vais boire du wisky coca. Je doute que tu aimes ca.

- Si. Au contraire.

- A ton âge?

- Je n'ai plus dix ans, j'ai exactement vingt ans.

- Pour moi tu n'es encore qu'un gamin, alors tu te contenteras d'un verre de coca.

 

   Gamin? C'est ce qu'il pense de moi alors... Je prend alors le verre qu'il me tend. Du coca, pff ca fait longtemps que j'ai passer l'âge des soda...

 

- Alors, tu comptes faire quoi de tes vacances?

- Hum, à vrai dire je devais retourner en France mais...

 

   Je baisse les yeux, Yasuo occupe toujours mes pensées, et ils les occuperas certainement toujours. Je sens alors une main se poser sur mon menton et remonter mon visage. Mes larmes, que j'avait essayer de retenir jusqu'à maintenant, coulent tous le longs de ma joues. Fuzaaki, de son pouce, les essuis alors. Il est doux avec moi, mais garde toujours ses distances, cet homme me frustre...

 

- Arrêtons de pensez aux choses malheureuse. Me dit il en souriant

 

   Son sourrire me réconforte et lui rendit son sourrire, même s'il n'est pas aussi beau que le sien. Il me regarde tendrement, puis arque un sourcil, il attend toujours une réponse apparement.

 

- Je sais pas encore à vrai dire.

- Hum, je vois... T'as pas de la famille chez qui aller? Ou bien des amis?

- Si, si bien sur, mais je pensais faire autre chose de mes vacances, de plus interressant disons...  

- J'ai quelque chose à te proposer.

- Ah oui?

 

   D'être son aman pendant les trois mois de vacances?? Non tu rêves mon pauvre Zack. Reprend toi et arrête de fantasmer sur cet homme. 

 

- Oui, ma secrétaire, étant en congé de maternité, n'est plus là, logique, alors je voulais te demander si tu voulais bien la remplacer. Tu auras à répondre au téléphone, écrire les rendez vous et c'est tout.

 

   Mon coeur bat la chamade. Restez avec lui pendant toutes les vacances? Ouaa! C'est encore mieu que ce que je pensais!

 

- J'ai déjà demander à Seiichi mais il a refuser. Il préfére s'amuser avec ses amis plutôt que de m'aider... Celui là alors.

- J'accepte!

- C'est vrai?

- Oui! Ca m'occupera et puis comme ca j'éviterais de penser à des choses malheureuses! Lui répondis je en souriant

- Cool! Je me demande si je ne me suis pas tromper de fils !

 

   Il ri à sa remarque, moi pas, sa remarque me fit un peu sérrer mon coeur, je ne sais pas vraiment pourquoi d'ailleurs, cet homme m'electrise et m'attire comme un émant.

 

- Tu ne travail pas le jeudi. C'est ton jour de congés. Tu verras, l'ambiance est bien. Et puis ca te permetteras de gagner de l'argent.

- Merci.

- Non c'est moi qui te remercie.

 

   Il me souri et se leve du canapé pour se mettre en face de moi puis sort un stylo ansi qu'un bout de papier de sa poche gauche.

 

- Tien, je te donne l'adresse et les horraires. Ne soi pas en retard. 

 

   Il termine sa phrase avec un léger rire qui me fit frissonner. En fait, mes vacances ne vont pas être si fichues que ca.