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LES FICS DE WAKU
( homophobes, mineurs (-13) maman ca dégage!!!)
Emmène moi avec toi
Emmène moi près des bois
Emmène moi dans tes bras
( homophobes, mineurs (-13) maman ca dégage!!!)
Emmène moi avec toi
Emmène moi près des bois
Emmène moi dans tes bras
>> Ce n'est rien...
So so kiind !
L'amOur, c'est beau
L'amOur à la yaOi c'est encOre plus beau!
The Love is beautiful ...
This love is beautiful .....
L'amOur à la yaOi c'est encOre plus beau!
The Love is beautiful ...
This love is beautiful .....
LOVE
FOREVER
YAOI
Krr Krr
FOREVER
YAOI
Krr Krr
Ficounettes
- Blablatage (incessant?!) de Waku (30)
- Résumé de mes fictions (8)
- Secret et Révélation (22)
- L'art mène à l'amour (17)
- Collocation Difficile (13)
- Juste un requiem (13)
- Destin (24)
- Tentation (7)
- Quand on mélange la haine à l'amour (3)
- Mon boulot... Je l'aime (10)
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Mardi 25 mars
2
25
/03
/Mars
19:12
Le lendemain matin se passa vite, Aaron était resté couché toute la matinée et ne s'était décidé à se lever du lit qu'aux environs de onze heures trente.
Il prit un bon bain pour se détendre et lorsqu'il en sortit, il était déjà treize heure. Il aime bien trainer dans la salle de bain... Il descendit les marches et se dirigea vers la cuisine. Sa
mère l'interpella.
- Ca ne vas pas?
- Tu t'en occupes maintenant? Posa t-il comme un défit
- Je... Aaron. Il faut qu'on discute...
- Discuter? Pas question! Pourquoi faire?
- J'ai eu un coup de fil du proviseur. Et tes notes, pour le peu que tu en a sont catastrophiques.
- Je sais.
- Je veux simplement t'aider.
- Fallait le faire avant. Maintenant j'ai d'autres ambitions.
Sa mère le regarda étrangement, que voulait il dire par d'autres ambitions? Elle soupira et s'assis sur une chaise de la pièce et prit son visage entre ses mains.
- S'il te plait maman. Ne te rend pas ridicul, tu t'en contre fiche de moi. Je le sais bien. Tout ce qui t'interesse c'est toi, toi et encore toi. Alors je t'en prit ne me dit pas que tu te soucis de moi.
- Tu es mon fils!! Cria t-elle
Aaron fit la moue et prit place en face de sa mère. Il ne savais plus quoi faire, tout était allé si vite. Son entrée en pension, ses viols à répétitions et l'ignorance de ses parents... C'est surtout ca qui le rend autant amer avec eux. Il prit une gorgée de jus d'orange tout en fixant sa mère.
- Je sais et toi tu resteras toujours ma mère. Seulement, je ne vois pas pourquoi vous êtes rester de votre côté, toi et papa lorsque je traversais une passe difficile.
- On pensais simplement que tu avais besoin d'un peu de recul, on ne voulais pas trop te brusquer.
- C'est pourtant ce que vous auriez du faire. Vous voyez ce que je suis devenu maintenant? Je voulais seulement quelqu'un sur qui m'appuyer et mes parents n'étaient même pas là.
Sa mère baissa les yeux, les larmes lui montaient aux yeux, le rejet de son fils la rendais malade. Mais elle sais qu'elle est en partie fautive du désaroi de son fils. Aaron se leva sans plus un regard envers sa mère qui ne tardera pas à craquer, il prit ensuite son manteau et s'engouffra dans le froid hivernale. Sa tête se recroquevilla dans son manteau et il marcha le long du trotoirre pour aller rejoindre la maison voisine. Il sonna trois fois et Pierre lui ouvrit, visiblement il n'avait pas l'air enchanté.
- Arrête de froncer les sourcils. Tu fais peur.
- Mizuki a été trés décu de ton comportement hier.
- Pauvre chou. Bon tu me laisses entrer il caille!
- C'est ca tu rêves! Il était vraiment attiré par toi. Et toi tu le plantes comme ca!
- Ca va arrête de te mêler de mes affaires!
- Quoi? C'est toi qui me dit ca? Qui à du supporter tes petits caprices, désolé de te dire ca, je sais que c'est trés dur à supporter comme poid, un viol c'est abominable, attroce enfin tout ce que tu veux. Mais je trouve que tu t'en ai plaint trop souvent, c'est difficil de tourner la page, j'en conviens, mais crois moi que j'ai pas été bien, j'entendais sans cesse les mêmes choses sortir de ta bouche. Je suis pas ta mère ni ton père je -
- T'es mon meilleur ami! Le coupa t-il C'est pour ca. Désolé de t'avoir saouler. Je pensais que tu m'aurais compris. Apparement non, mais je ne t'en veux pas. Enfin si un peu quand même, mais au moin t'es franc. Mes parents n'étaient pas la pour me soutenir je me suis tourné vers toi car je t'aime et que t'es mon meilleur ami... C'est tout.
Aaron avait les larmes aux yeux il ne voulait pas encore s'engueler avec son meilleur ami une nouvelle fois. Il voulait à tout prix tourner la page et refaire sa vie, et voilà qu'on lui rejette sans cesse ses erreurs. Il tourna les talons complement perdu mais une main lui attira le bras et il se retrouvit dans des bras. Ceux de son meilleur ami. L'étreinte était belle, ils se serraient mutuellement l'un l'autre. Se disputer ne rimaient à rien, tirer un trait sur tout ca était bien plus simple. L'ignorance et l'oubli son d'un réel réconfort quand on a vraiment besoin.
- Moi aussi je t'aime, chuchotta doucement Pierre
Aaron souria et ils se désererent l'un de l'autre pour rentrer au chaud.
- Tu veux quelque chose? J'ai encore des pattes au four si tu veux.
- Ah je veux bien! C'est pas avec ce que fait ma mère que je vais tenir debout!
- Je te fais réchauffer ca tout de suite!
Pierre lui souria et alla dans la cuisine, Aaron lui, s'assis sur le divant. Il était content d'avoir retrouvé son meilleur, il ne l'avait pas perdu bien sur, mais ils étaient moin proche qu'autrefois.
- Alors? Vous êtes resté longtemps aprés mon départ à la boite?
- Bah non, ca servait plus à rien... Dit alors Pierre sous un ton de repproche
- Pardon...
- C'est pas grave dit Pierre en déposant les pattes sur la table basse Et toi avec ton gentil déssinateur?
- J'ose pas l'apeller... Ni aller le voir d'ailleur.
- Mais voyons Aaron! Tu fais ce que tu veux, c'est quand même pas ton petit ami!
- Non je le sais... Mais je veux qu'il le soi justement, aprés ce qu'il a vu c'est sur qu'il le sera pas.
- Soi pas si défetiste. Mange et appel le aprés!
Aaron aquiesca et piqua une patte dans son assiètte sous le regard bleu de son meilleur ami.
- Mm... Sinon, comment tu le trouves Mizuki?
- Quoi? Fit Aaron en s'étouffant avec une patte
- Il t'a tapper dans l'oeil hein?
Le brun baissa les yeux, comment Pierre pouvait il lire en lui comme si c'était un livre ouvert? Il ne répondit rien, c'est vrai que ce japonais lui avait tapper dans l'oeil, et peut-être pas que dans l'oeil d'ailleur, pensa t-il en rougissant. Il se surprenait. Il n'aurait jamais pensé ca de lui. Avoir des fantasmes envers un mec... Mais cette nouvelle sensation n'était pas si désagréable. Il souria à Pierre et tous deux continuerent de parer de choses et d'autres. Pierre était heureux de revoir son ami de la sorte. Le revoir sourrire et ambitieux. Aaron avait décidé de reprendre sa vie en main, d'arrêter de pleurer comme un idiot sur les évenements passés, il retourna au lycée et s'expliquera avec le proviseur en évitant les détails, il ne veux pas que tout le monde le plaigne.
- Ca ne vas pas?
- Tu t'en occupes maintenant? Posa t-il comme un défit
- Je... Aaron. Il faut qu'on discute...
- Discuter? Pas question! Pourquoi faire?
- J'ai eu un coup de fil du proviseur. Et tes notes, pour le peu que tu en a sont catastrophiques.
- Je sais.
- Je veux simplement t'aider.
- Fallait le faire avant. Maintenant j'ai d'autres ambitions.
Sa mère le regarda étrangement, que voulait il dire par d'autres ambitions? Elle soupira et s'assis sur une chaise de la pièce et prit son visage entre ses mains.
- S'il te plait maman. Ne te rend pas ridicul, tu t'en contre fiche de moi. Je le sais bien. Tout ce qui t'interesse c'est toi, toi et encore toi. Alors je t'en prit ne me dit pas que tu te soucis de moi.
- Tu es mon fils!! Cria t-elle
Aaron fit la moue et prit place en face de sa mère. Il ne savais plus quoi faire, tout était allé si vite. Son entrée en pension, ses viols à répétitions et l'ignorance de ses parents... C'est surtout ca qui le rend autant amer avec eux. Il prit une gorgée de jus d'orange tout en fixant sa mère.
- Je sais et toi tu resteras toujours ma mère. Seulement, je ne vois pas pourquoi vous êtes rester de votre côté, toi et papa lorsque je traversais une passe difficile.
- On pensais simplement que tu avais besoin d'un peu de recul, on ne voulais pas trop te brusquer.
- C'est pourtant ce que vous auriez du faire. Vous voyez ce que je suis devenu maintenant? Je voulais seulement quelqu'un sur qui m'appuyer et mes parents n'étaient même pas là.
Sa mère baissa les yeux, les larmes lui montaient aux yeux, le rejet de son fils la rendais malade. Mais elle sais qu'elle est en partie fautive du désaroi de son fils. Aaron se leva sans plus un regard envers sa mère qui ne tardera pas à craquer, il prit ensuite son manteau et s'engouffra dans le froid hivernale. Sa tête se recroquevilla dans son manteau et il marcha le long du trotoirre pour aller rejoindre la maison voisine. Il sonna trois fois et Pierre lui ouvrit, visiblement il n'avait pas l'air enchanté.
- Arrête de froncer les sourcils. Tu fais peur.
- Mizuki a été trés décu de ton comportement hier.
- Pauvre chou. Bon tu me laisses entrer il caille!
- C'est ca tu rêves! Il était vraiment attiré par toi. Et toi tu le plantes comme ca!
- Ca va arrête de te mêler de mes affaires!
- Quoi? C'est toi qui me dit ca? Qui à du supporter tes petits caprices, désolé de te dire ca, je sais que c'est trés dur à supporter comme poid, un viol c'est abominable, attroce enfin tout ce que tu veux. Mais je trouve que tu t'en ai plaint trop souvent, c'est difficil de tourner la page, j'en conviens, mais crois moi que j'ai pas été bien, j'entendais sans cesse les mêmes choses sortir de ta bouche. Je suis pas ta mère ni ton père je -
- T'es mon meilleur ami! Le coupa t-il C'est pour ca. Désolé de t'avoir saouler. Je pensais que tu m'aurais compris. Apparement non, mais je ne t'en veux pas. Enfin si un peu quand même, mais au moin t'es franc. Mes parents n'étaient pas la pour me soutenir je me suis tourné vers toi car je t'aime et que t'es mon meilleur ami... C'est tout.
Aaron avait les larmes aux yeux il ne voulait pas encore s'engueler avec son meilleur ami une nouvelle fois. Il voulait à tout prix tourner la page et refaire sa vie, et voilà qu'on lui rejette sans cesse ses erreurs. Il tourna les talons complement perdu mais une main lui attira le bras et il se retrouvit dans des bras. Ceux de son meilleur ami. L'étreinte était belle, ils se serraient mutuellement l'un l'autre. Se disputer ne rimaient à rien, tirer un trait sur tout ca était bien plus simple. L'ignorance et l'oubli son d'un réel réconfort quand on a vraiment besoin.
- Moi aussi je t'aime, chuchotta doucement Pierre
Aaron souria et ils se désererent l'un de l'autre pour rentrer au chaud.
- Tu veux quelque chose? J'ai encore des pattes au four si tu veux.
- Ah je veux bien! C'est pas avec ce que fait ma mère que je vais tenir debout!
- Je te fais réchauffer ca tout de suite!
Pierre lui souria et alla dans la cuisine, Aaron lui, s'assis sur le divant. Il était content d'avoir retrouvé son meilleur, il ne l'avait pas perdu bien sur, mais ils étaient moin proche qu'autrefois.
- Alors? Vous êtes resté longtemps aprés mon départ à la boite?
- Bah non, ca servait plus à rien... Dit alors Pierre sous un ton de repproche
- Pardon...
- C'est pas grave dit Pierre en déposant les pattes sur la table basse Et toi avec ton gentil déssinateur?
- J'ose pas l'apeller... Ni aller le voir d'ailleur.
- Mais voyons Aaron! Tu fais ce que tu veux, c'est quand même pas ton petit ami!
- Non je le sais... Mais je veux qu'il le soi justement, aprés ce qu'il a vu c'est sur qu'il le sera pas.
- Soi pas si défetiste. Mange et appel le aprés!
Aaron aquiesca et piqua une patte dans son assiètte sous le regard bleu de son meilleur ami.
- Mm... Sinon, comment tu le trouves Mizuki?
- Quoi? Fit Aaron en s'étouffant avec une patte
- Il t'a tapper dans l'oeil hein?
Le brun baissa les yeux, comment Pierre pouvait il lire en lui comme si c'était un livre ouvert? Il ne répondit rien, c'est vrai que ce japonais lui avait tapper dans l'oeil, et peut-être pas que dans l'oeil d'ailleur, pensa t-il en rougissant. Il se surprenait. Il n'aurait jamais pensé ca de lui. Avoir des fantasmes envers un mec... Mais cette nouvelle sensation n'était pas si désagréable. Il souria à Pierre et tous deux continuerent de parer de choses et d'autres. Pierre était heureux de revoir son ami de la sorte. Le revoir sourrire et ambitieux. Aaron avait décidé de reprendre sa vie en main, d'arrêter de pleurer comme un idiot sur les évenements passés, il retourna au lycée et s'expliquera avec le proviseur en évitant les détails, il ne veux pas que tout le monde le plaigne.
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