Samedi 15 mars
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17:26
Le lendemain matin, Cley marhciat le long d'un couloir, il repensais aux moments de la veille, dans la douche, la glace cassée, le baiser par Jared et
puis... Le départ de Lary. Il s'en voulait de lui avoir fait mal, il l'éstimait beaucoup, et c'est cela qui lui fait le plus peur... Il veut se faire pardonner à tout prix, et surtout retrouver son
ami. Une fois arrivé dans la salle de mathématique il s'installa au fond, comme d'habitude, quelques regard malicieux se tournerent vers lui dés qu'il avait le dos tourné, histoire bien regarder
son cul. Il s'assya sur la chaise et regarda son portable, aucun message... Il souffla et enfouie sa tête dans ses bras. Cette heure de mathématique allait ête mieu qu'il ne le pensait, il pourra
récupérer une heure de sommeil qu'il a manqué. Oui, car, pendant la nuit il n'avait pas arrêter de penser à Lary, ses yeux, son nez, sa bouche, son corps... Lui, tout entier. Il se retira de ses
songes lorsqu'il senti que quelqu'un s'était assis à côté de lui.
- Lary!
Le brun ne répondit rien et s'installa à sa table sans même un regard envers Cley.
- Lary, je m'excuse.
- Je m'en fou. Laisse moi.
- Quoi? Tu vas bouder?
Lary tourna sa tête vers son collocataire et lui tira la langue.
- Tu me pardonnes?
- Non.
- Laryy! Jt'en pris! Pardonne moi, je m'en veux tu sais... Je ne voulais pas te briser le coeur.
- Fallais y réfléchir à deux fois avant de fourrer ta langue dans la bouche de c'mec!
- T'es jaloux ma parole!
- Non pas du tout!
- Mm... C'est ca!
- Quoi? Non mais je ne suis pas jaloux! C'est juste que
- Ouais t'es jaloux...
- Arrête!
- Bon tu me pardonnes??
- Je t'ai déjà dit non!
- Je ferais tout ce que tu veux mais pardonne moi!
Lary se tourna de nouveau vers son collocataire et afficha un sourrire malicieux.
- Tout ce que je veux hein?
- Ouais enfin y'a des limites...
- Alors ce n'estpas tout ce que je veux.
Cley souria à son ami avant de lui faire un bisous sur la joue ce qui surpris un peu Lary qui rougissa à cette marque d'affection. La prof arriva et le cours commenca avec des gros soupire
lorsqu'il entendire parler des fonctions, afines, linéaire, et blablabla.
Cley jouait avec son stylo, en le faisant tourner sur ses doigts, la grande mode, si tu ne sais pas le faire t'es un blaireaux, lorsqu'il senti une main se poser sur sa cuisse, il ne pu réprimer un
frisson et se tourna vers Lary qui ne le regardait mais on pouvait devnier son visage caché par ses cheuveux. Sa main remonta le long de sa cuisse et éfleura l'entre jambe de Cley qui se raidit sur
sa chaise. Il ne pouvait pas enlever sa main, il aimait trop ce contact. La main de Lary se faufilla dans le boxer de Cley qui prota son stylo à sa bouche afin de le mordre, il sentait cette main
caresser son sexe sur toute la longueur et faire des vas et viens tout au long de celui ci qui se raidi un peu plus à chaque contact.
Quelques minutes plus tard, Lary sortit sa main du boxer, laissant à Cley le pouvoir de respirer à nouveau normalement et notta sur sa feuille " Ce n'est qu'un avant gout ". Cley dégluti
péniblement sa salive, une douce chaleur vint s'emparer de lui lorsqu'il croisa enfin le regard de Lary. Il détourna les yeux, son envie était plus qu'évidente, il avait réagis aux
carresses.
La sonnerie retentie et Cley se leva et cacha son érection avec l'aide d'un de ses cahiers de mathématique, Lary émit un leger rire et se leva à son tour profitant de la situation pour éffleurer le
posterieur de son ami.
- Il va arrêter bon sang... Pensa Cley frustré
Le brun sortie de la salle et croisa Jared qui le regardait avec malice, il l'ignora totalement, c'est vrai que le baiser d'hier n'était qu'une stricte erreure, il s'éait laisser faire par un
moment de faiblesse, il avait apprécié le baiser. Il seocua la tête, qu'était t-il en train de faire? Et Janis dans tout ca? Non, il doit résister au charme de Lary et penser à sa vie d'avant. Ce
n'est pas parce qu'il a changé de ville et de lycée qu'il doit tout oublier,non, c'est impossible.
La journée de venait que de commencer et Lary n'arrêtait de lancer des regards explicite à Cley, qui commencait à se demander si ce n'était pas un jeu, il trouvait cela éxitant d'ailleur, de
résisté... Le brun ne se voile pas la face, il sais qu'il est attiré, physiquement par Lary et il ne peut pas lutter contre ca. Pendant une heure de creu, le nouveau décida d'aller au CDI pour
faire un exposé, en histoire, sur les poilus. Mais lorsqu'il emprunta un couloir, vide, il sentit deux bras se poser sur son tors et le plaquer contre le mur.
- Lary! Qu'est ce qu'il te prend?
- Je peux plus attendre....
- Attendre quoi?
- A ton avis?
- Lary ... Je... Non! J'ai mon exposé à commencer.
- Mm... S'en fou c'est pour dans un mois, t'aura le temps d'ici la.
Lary ayant fini sa phrase commenca à sussoter legerement les oreilles de Cley qui ne pu s'empêcher de gémir.
- Arrête. S'il te plait.
- T'aimes pas ca?
- Je... Je ne sais pas.
Lary lacha Cley en soupirant. Décidement, ce mec ne sais pas ce qu'il veut.
- Okay, je comprend.
Il le laissa sur ses derniers mots et Cley pu enfin entrer au CDI sans encombre. Il regarda autour de lui et s'appercut que toutes les places étaient prises. Il s'assie donc à côté d'un mec, plutôt
pas mal, grand, aux cheuveux mis long, brun avec des mèhces blanches, il avait de fines lèvres et des yeux orangés. Il avait une chemise violette entrouverte, laissant s'appercevoir à un beau tors
legerement poilu et musclé.
- Je ne suis pas gay... Souffle alors le brun aux mèches blanche dans un ton de lassitude
- M... Moi non plus.
- Ah ouais? C'est pour ca que y'a un mec qui vien de te plaquer contre le mur?
Cley baissa la tête, et ouvrit son livre d'histoire afin de se plonger dedans et d'oublier la présence de cet homme qui le trouble tant.
- Je m'apelle Christian et toi?
- Cley...
- Alors toi aussi t'es obligé de supporter l'homosexualité des autres...
- Mm
- On te fais des avances.
- Ouais... Mais la je suis en train de lacher prise pensa t-il
- Enfin,c'est les vacances dans un mois on pourra voir nos meuf, enfin si t'en a une.
- Oui depuis un an.
- Oua, moi non, enfin c'est pas pour moi les relations à longue durée.
- Je vois.
- Bon, ca à été un plaisir de bavarder avec toi. J'doi y aller. J'espère qu'on se reverra.
Par waku
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Publié dans : Collocation Difficile
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